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Bring It On (en France American
Girls, au Québec Le tout pour le tout) : «Don't speak!
Don't think! Listen, and learn.» «I'm sexy! I'm cute! I'm popular to
boot!». Ou en français, pitoyable : «J'suis sexy! J'suis canon! Célèbre
dans ma région!» |
En résumé, le pitch qui a fait le bonheur de milliers de spin-off,
*le* modèle du film de pompoms, *le* film que Kirsten Dunst voudrait
voir retirer de son CV : Kirsten Dunst, récemment élue chef de son
équipe de pompoms, découvre que l'ancienne chef pompom a volé des chorés
à une équipe de pompoms adverses, noires et pauvres. Va-t-elle
nonobstant réussir à conduire son équipe à la victoire au
championnat, malgré le besoin de trouver de nouvelles chorés, son
chéri qui la trompe, le frère de sa nouvelle meilleure amie qui lui fait
de l'oeil ? La tension est à son comble... |
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Bring It On 2 (Bring It On Again) :
quand même, qu'est-ce qu'il est mauvais!
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Probablement le moins réussi des Bring it On. Virée de l'équipe
pompom qu'elle vient tout juste d'intégrer par la chef tyrannique qui
voit d'un mauvais oeil son idylle avec le DJ moche du lycée, l'héroïne
monte une nouvelle équipe... C'est la toute première mise en application
de ce principe obligatoire des films de pompom : toute équipe nulle,
placée sous la direction de l'héroïne du film, acquiert en deux semaines
la coordination du ballet de Moscou et les talents de gymnaste du cirque
de Pékin. On applaudit bien fort. |
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Bring It On 3: All or Nothing: «Introduce
yourself!» |
Toute première apparition à l'écran en pompom-girl de Hayden
Panettiere (mais si, celle qu'il faut sauver pour sauver le monde, comme
quoi ces films idiots peuvent vous lancer une carrière), qui quitte ici
son lycée de Barbies bourges pour intégrer malgré elle un lycée avec des
gens noirs et pauvres, bêêêh. Mais, surprise, les gens noirs et pauvres
ont du talent ! C'est si beau qu'on en écrase une larmichette. |
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22h30 : Bring It On 4: In It to Win It, encore inédit
en France! En savoir plus avec Wikipedia
(si si, il y a une page sur ce film!) |
Deux équipes rivales s'affrontent à un cheerleading camp. On devine
vers 02'34" qu'elles vont devoir s'associer à la fin. Se veut un remake
pompom de West Side Story. |
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Bring It On 5 : fight to the
finish : sorti à l'été 2009 en DVD, ce film
n'a pas connu les salles. |
Un
sénario qui rappelle quelque chose : une pompom latino se
retrouve dans une nouvelle université où elle va devoir faire face
à la chef pompom locale; mais ça promet comme d'habitude de
nombreuses chorés et acrobaties, du suspens, et de la psychologie
et des sentiments à l'américaine comme on les aime. |
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High School Musical 3 | Gabrielle et Troy, les
deux charismatiques et disneyens héros, risquent
de voir leur couple brisé par leur entrée dans des facs différentes.
D'angoisse, ils chantent et font de petites chorés. C'est beau.
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Sidney White | Blanche-Neige entre au "college",
se fait virer de sa «sororité» par la méchante et jalouse reine du campus
et se voit obligée d'aller vivre avec les sept geeks (C'est du second
degré, hein, pas une coproduction nanar'club). Peu de cheerleading cette
fois-ci, mais plein de clichés comme on les aime sur la culture US. |
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Belles à mourir |
La lutte impitoyable entre Kirsten Dunst et Denise Richards pour
devenir la miss d'un bled dans le Minnesota. Terrifiant et très rigolo!
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Sugar and Spice (Bad Girls en
France) |
L'histoire édifiante d'une équipe de pompoms qui braque une
banque pour venir en aide à l'une d'elles, enceinte. Ou : "les
pyramides, ça mène à tout dans la vie". |
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Man of the House (Garde
rapprochée) |
Avec Tommy Lee Jones, chargé de surveiller cinq pompoms,
abominablement gourdasses, futiles et insupportables, mais témoins
d'un meurtre... |
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Fired Up! |
Quand deux
piliers de l'équipe de foot infitrent l'équipe de pompoms pour draguer...
et finissent par y prendre goût! À voir pour la scène mythique où 300
pompoms récitent religieusement les dialogues de Bring It On...
Tous les poncifs, mais joyeusement détournés.
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